« La psychanalyse n’est pas une thérapeutique comme les autres »[1], disait Lacan dans Écrits. Penser la psychanalyse, c’est rejoindre la « subjectivité de son époque »[2]. C’est s’orienter dans la pensée, en marchant vers l’avant, comme l’évoque Bousseyroux[3] s’inspirant du dire de Lacan : « nous pensons avec nos pieds ». La psychanalyse se dit et se révèle au fil du temps. Elle n’est plus ce qu’elle a été, ni ce qu’elle sera. Elle est cette psychanalyse qui se crée au présent, qui prend acte.
De ce fait, questionner sa fonction est toujours d’actualité. Comment donc penser la psychanalyse ?
Jeudi 15 avril
20h30-22h Beyrouth (Zone Horaire : UTC/GMT +2 heures) |
Le Liban dans l’histoire de la psychanalyse
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Jeudi 15 juillet
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Un ou des psychanalystes ?
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Jeudi 19 août
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Penser les pratiques de la psychanalyse
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Jeudi 28 octobre
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La psychanalyse et L’État
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Jeudi 16 décembre
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La psychanalyse à l’épreuve |
En temps réel, via ZOOM.
[1] Lacan, J. (1955). Variantes de la cure-type, dans Écrits (1966), p. 324. Paris : Seuil.
[2] J. Lacan, J. (1953). Fonction et champ de la parole et du langage, dans Écrits (1966) p.321.Paris : Seuil.
[3] Bousseyroux, M. (2016). Penser la psychanalyse avec Lacan: Marcher droit sur un cheveu. Toulouse, France: Érès. https://doi.org/10.3917/eres.bouss.2016.01